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Lynn Gourlay | L'écoute active et flexibilité dans l'organisation des visites libres pour une approche client personnalisée

Approche Client

On répète toujours à notre client : « Voici ce qui est possible, mais t'es le boss. » Nous, on peut choisir, mais au bout de la ligne, je ne te forcerai pas à faire une visite libre si tu me dis : « Moi, les microbes, les gens inconnus dans ma maison, les gens qui touchent à tout, ça ne fonctionne pas pour moi. » On ne viendra pas forcer une visite libre pour cette personne-là. Donc, on est vraiment à l'écoute et on leur dit tout le temps : « Mais voici la panoplie de ce qui pourrait être fait. » L'avantage de, le désavantage. Et les gens finissent par bien se sentir et choisir des choses.

Les Visites Libres

Les visites libres ont toujours fait partie de notre répertoire. Cela a eu des hauts et des bas. Des fois, une maison à la campagne, faire une visite libre, il est possible qu'on n'ait aucun visiteur. Tout comme on essaie vraiment de promouvoir la date, on essaie de faire tout ce qu'on peut pour qu'il y ait de la visibilité. Des fois, on est dans le néant, on ne sait pas, il ne vient personne. Mais des fois, on le sait pertinemment qu'on va prévoir un achalandage. Quand on sait qu'il va y avoir un achalandage important, soit à cause du secteur ou du type de produit, ça nous est arrivé de dire, soit on le fait en même temps parce qu'il y aura trop de gens, ou bien je fais une partie de la visite libre, tu feras l'autre.

Quand on donne beaucoup d'informations, quand on parle à beaucoup de gens, c'est quand même assez énergivore. Et on change les rôles. Ça pourrait être plus une qui accueille, qui donne les informations de base, qui reste plus à la porte pour prendre les informations, les donner. L'autre, elle fait plus une surveillance, puis elle peut répondre aux questions qui arrivent spontanément des pièces. On est vraiment flexibles là-dessus. Oui, c'est sûr qu'on peut voir si on a 30 courtiers qui ont appelé le jeudi avant la visite libre le dimanche. Oh, je pense qu'on va travailler tous les deux. Donc on s'ajuste, mais ce n'est jamais pareil.

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