INFOLETTRE
Quand je pense à mes clients idéaux, j'ai des clients idéaux dans ma tête, j'en ai des moins idéaux. Mais c'est sûr que je ne voudrais pas que quelqu'un se sente obligé de faire affaire avec moi comme moi je ne voudrais pas me sentir obligé de faire affaire avec quelqu'un.
Il y a une question de chimie, il y a beaucoup de compétition, mais je pense que quand la chimie est là, déjà, on a un point qui nous rassemble. Moi, je suis dans la transparence. Quand je vais à une rencontre, je suis confiante que mon service est bon, que j'ai quelque chose à offrir, mais au final, la personne de l'autre côté peut soit ne pas apprécier la perception ou, au contraire, dire que c'est réglé, je suis sain aujourd'hui.
Cela nous arrive à tous, je pense que ça arrive à tous les courtiers. On aimerait ça rentrer à chaque fois, puis que justement, ce déclic-là se fasse, puis on sait que ce serait l'idéal. Mais c'est sûr qu'on comprend très bien que c'est un gros projet. Souvent, les gens ont une petite question, ils ont vu plus qu'un courtier, puis ça prend le temps de digérer, discuter généralement par l'autre douce moitié, puis de prendre une décision. On comprend qu'on ne peut pas tout hâter.
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